Représentations
Récital L'Amour du chant « Comme à la Maison… »
Derrière ce titre intriguant, le ténor Cyrille Dubois et son complice Tristan Raës proposent un récital qui met à l’honneur des compositeurs et compositrices emblématiques de cette maison ayant créé au moins un opéra-comique salle Favart de leur vivant, et montrant en complément toute leur palette chambriste dans des mélodies créées pour les maisons bourgeoises parisiennes….

Découvrez la playlist du récital
Ténor Cyrille Dubois • Piano Tristan Raës
Avec les artistes de l'Académie de l'Opéra-Comique
Voir toute la distributionDurée : 1h30 sans entracte | Salle Favart
Tarifs : 50, 40, 30, 25, 19, 13, 11, 6 €
16 emplacements spécifiques sont accessibles aux personnes à mobilité réduite, sur réservation au guichet ou par téléphone. Ascenseur accessible par le 5 rue Favart.
01 70 23 01 44 | accessibilite@opera-comique.com
Programme
Jules Massenet (1842-1912)
- Sonnet, poème d’Emmanuel Pradier (1869)
- L’improvisateur, traduction d’un poème italien de Giuseppe Zaffira par Romain Bussine (1864)
- « Ce monde que je vois… Qu’il est loin mon pays… », air de Jean extrait de Sapho, livret d’Henri Cain (1897 à l’Opéra-Comique)
Georges Bizet (1838-1875)
- La coccinelle, poème de Victor Hugo (1868)
- « Partout des cris de joie… À la voix d’un amant fidèle… », romance de Smith, extrait de La Jolie fille de Perth, livret de Henri Vernoy de Saint-Georges et Jules Adenis (1867 au théâtre lyrique de Paris)
Benjamin Godard (1849-1895)
- Amour fatal, poème de Prosper Blanchemain (~1874)
- « Cachés dans cet asile où Dieu nous a conduit… Oh ! Ne t’éveilles pas encore… », berceuse de Jocelyn, extrait de l’opéra du même nom op. 100, livret d’Armand Silvestre et de Victor Capoul (1888 à la Monnaie de Bruxelles puis à Paris au Théâtre du Château d’Eau)
Camille Saint-Saëns (1835-1921)
- « Humble et pauvre, es tu donc heureux… Demande à l’oiseau qui s’éveille… », air de Bénédict, extrait du Timbre d’argent, livret de Jules Barbier et Michel Carré (1877 au Théâtre Lyrique National de Paris)
- « La Splendeur vide »
- « Tournoiement », extrait des Mélodies persanes op. 26, poèmes d’Armand Renaud (1870)
Charlotte Grandval (1828-1907)
- Regrets, poème anonyme (1865)
- « O Matrena, fleur de l’Ukraine… », air d’Iskra extrait de Mazeppa, livret de Charles Grandmougin et Georges Hartmann (1892 à Bordeaux – jamais créé à Paris)
Léo Delibes (1836-1875)
- « Amoureux, il l’a dit !... Quand je la vis pour la première fois… », air de Cyrille, extrait de Kassya, livret d’Henri Meilhac et Philippe Gille (Prévu en 1888 mais reporté à cause de l’incendie de la maison il est terminé par Massenet (récits) et finalement créé en 1893 à l’Opéra-Comique)
- Départ, poème d’Émile Augier (1867)
- Épithalame, poème d’Édouard Grenier (1888)
André Messager (1853-1929)
- « Si vous croyez que je vais dire […] Une angoisse exquise est mortelle… », air de Fortunio, extrait de l’opéra du même nom, livret de Gaston Arman de Caillavet et Robert de Flers (1907 à l’Opéra-Comique)
- « Un réseau d’ombres emprisonne », « La lune égrène en perles blondes », « Dans les arbres blancs de givre », extraits du cycle Nouveau Printemps, poèmes de Georges Clerc d’après Heinrich Heine dédiés à Fauré
Gabriel Pierné (1863-1937)
- La Brise, poème d’Henri Passerieu (1890)
- « La vie », extrait des Six Ballades Françaises, poème de Paul Fort (1910)
- « Voici donc ma chère vallée… », air de Perdican, extrait de On ne badine pas avec l’amour, livret de Louis Leloir et Gabriel Nigond (1910 à l’Opéra-Comique)
Louis Beydts (1895-1953)
- « Dans mes bras, rêve d’espérance… », berceuse de Maurice, extrait d’ À l’Aimable Sabine, livret de Léopold Marchand (1947 au théâtre Marigny)
- Le pont Mirabeau, poème de Guillaume Apollinaire (1940)
- Le Petit serin en cage, extrait des Chansons pour les oiseaux, poème de Paul Fort (1948)