Alexandre Dratwicki parcourt les différentes versions de Roméo et Juliette, à travers les airs de son héroïne éponyme, la valse et l’air du poison.
Comment le rôle a-t-il évolué depuis sa création par Caroline Miolan-Carvalho ?

Caroline Miolan-Carvalho (1827-1895), créatrice du rôle de Juliette en 1867 et son interprète lors de l’entrée au répertoire de l’Opéra-Comique en 1873 / Photographie d’Étienne Carjat © Paris Musées

Marie Heilbron (1849-1866), interprète de Juliette à l’Opéra-Comique en 1885 / Photographie de l’atelier Nadar © Paris Musées

Adelina Patti (1843-1919), Juliette pour l’entrée de l’œuvre au répertoire de l’Opéra en 1888 / Photographie de Charles Reutlinger © Paris Musées

Emma Eames (1865-1952), qui débute en Juliette à 24 ans, en 1889, au Palais Garnier / Photographie © NYPL

Caroline Miolan-Carvalho (1827-1895), créatrice du rôle de Juliette en 1867 et son interprète lors de l’entrée au répertoire de l’Opéra-Comique en 1873 / Photographie d’Étienne Carjat © Paris Musées

Marie Heilbron (1849-1866), interprète de Juliette à l’Opéra-Comique en 1885 / Photographie de l’atelier Nadar © Paris Musées

Adelina Patti (1843-1919), Juliette pour l’entrée de l’œuvre au répertoire de l’Opéra en 1888 / Photographie de Charles Reutlinger © Paris Musées

Emma Eames (1865-1952), qui débute en Juliette à 24 ans, en 1889, au Palais Garnier / Photographie © NYPL
Quelles étaient les exigences de Charles Gounod en termes de vocalité ? Comment voulait-il que ses œuvres soient chantées ? Telles sont les questions auxquelles répond Gérard Condé.

Charles Gounod / Photographie anonyme, seconde moitié du XIXe siècle © Paris Musées

Charles Gounod dessiné par Pauline Viardot / Publié dans la revue Musica, 1906 © Bru Zane Mediabase

Charles Gounod peint par Ingres, lors de son séjour à la Villa Médicis, en 1841 / Publié dans la revue Musica, 1906 © Bru Zane Mediabase

Charles Gounod à Rome, dans l’atelier de Pils / Dessin de J. Clairin, publié dans la revue Musica, 1906 © Bru Zane Mediabase

Charles Gounod / Photographie anonyme, seconde moitié du XIXe siècle © Paris Musées

Charles Gounod dessiné par Pauline Viardot / Publié dans la revue Musica, 1906 © Bru Zane Mediabase

Charles Gounod peint par Ingres, lors de son séjour à la Villa Médicis, en 1841 / Publié dans la revue Musica, 1906 © Bru Zane Mediabase

Charles Gounod à Rome, dans l’atelier de Pils / Dessin de J. Clairin, publié dans la revue Musica, 1906 © Bru Zane Mediabase
Retour sur l’élaboration du Médecin malgré lui, premier opéra-comique de Charles Gounod, d’après Molière. C’est aussi son premier ouvrage lyrique adapté du théâtre. Par Sabine Teulon-Lardic.

Ermand de la Comédie-Française dans son habit de Sganarelle, jouant le Médecin malgré lui / Estampe de Claude Gillot et Jean Audran, seconde moitié du XVIIe siècle © Paris Musées

M. Jacques Isnardon dans Sganarelle du Médecin malgré lui (Gounod) / Parue dans la revue Musica, 1906 © Bru Zane Mediabase